Étiquette : Fenêtres balcons
40 rue Voltaire
Cet immeuble remarquable a été construit en 1924-1925. Maitre d’ouvrage…
8 place Myron-Herrick
Immeuble Chabert, N° 8, place Myron-Timoty-Herrick. Permis de construire délivré le 9 août 1923 au nom de M. Chabert pour un immeuble à destination d’habitation et de commerce situé au N° 12, place du Palais de Justice (ancienne adresse). La ferronnerie occupe un socle en pierre d’Euville et le surplus jusqu’à la sablière est en pierre de Savonnières. Les sculptures au-dessus de la fenêtre du premier étage de la rue des Deux Anges qui se trouvait à l’emplacement d’une partie du cours Langlet actuel (percé dans les années 1920). L’enfant ayant servi de modèle pour les angelots serait André Fanjat, fils de l’architecte.
Un oriel se développe au-dessus sur deux étages, et se termine à l’étage de comble par un balcon sous pergola à balustres en pierre à l’époque de la reconstruction de Reims. Immeuble en pierre de taille, ardoise, 3 étages carrés, étage de comble, toit à longs pans brisés, sculpture, intérieur, ferronnerie, ange. Source; JLJF.
Angle de la rue Thiers et du cours Langlet
Immeuble d’angle rue Thiers-cours Langlet: Permis de construire délivré le 23 septembre 1924 pour M. Courbet (propriétaire, maître d’ouvrage, immeuble à destination d’habitations et de commerce. La crête qui surmontait initialement le toit du pavillon d’angle (visible encore en 1987) n’existe plus actuellement. La municipalité avait souhaité que les immeubles situés aux croisements de ce nouvel axe soient couronnés de dômes. La rue Thiers avait été percée dans le dernier tiers du 19e siècle pour faire communiquer la place de l’hôtel de ville et la gare nouvellement construite. Architecte de l’immeuble Buisson Georges. Les façades sont animées d’orieils sur trois étages avec des balcons-pergolas à colonnettes en faisceau coiffés de coupoles à pan coupés. L’angle vers la rue Thiers, de plan hémisphérique, se détache en pavillon et est coiffé d’un dôme ouvert d’une lucarne. Balcons de pierre au-devant de trois fenêtres à chacun des trois étages. La porte rue Thiers s’accompagne d’un oeil de boeuf encadré de guirlandes fleuries; dont le réseau en fer forgé octogonal ajoute une touche Art Déco. Source JLJF.
46 rue de Vesle à l’angle de la rue Marx Dormoy
Au N° 46 de la rue de Vesle. Le permis de construire a été délivré le 19 juin 1921 pour la chaîne à succursales multiples Goulet-Turpin. L’immeuble est localisé au moment de la reconstruction au N° 1 rue Saint-Jacques. Il est alors question de transformer l’immeuble, ce qui sous-entend des murs subsistants au moins pour les deux premiers étages. Architecte Bouchette Pierre. Immeuble massif de plan carré. Couronné d’un toit brisé en pavillon percé d’oeils-de-boeuf, il porte l’essentiel de la décoration; corniche haute cintrée, fenêtres sous archivolte en plein cintre et tympan sculpté en bas-relief avec clef débordante. Sur les faces du pignon des cartouches portent le monogramme « ETG » Etablissements Goulet-Turpin. La partie haute retient l’attention; des loggias supportées par de fines colonnettes s’ouvrent dans l’étage de comble en alternance avec des lucarnes. L’immeuble est destinée au commerce (rez-de-chaussée et premier étage) et à l’habitation (deuxième étage). Source JLJF
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