Étiquette : Ferronnerie

Quelle étrange tête de lion sur cette façade au 29…

Mosaïques au 38 rue de Vesle.

Pignon en bois original. 109 rue de Courlancy. …

A noter que Max Sainsaulieu a conçu cet immeuble pour…

Au N° 17 de la rue Courmeaux. Maison de ville, architecte Jules Allart ajoutée à sa maison d’origine du N° 15 rue Courmeaux, maison édifié pour lui même. Ferronneries et boiseries d’esprit Art Nouveau. Permis de construire en 1912. Matériaux de façades; Pierre et céramique. Source Jolivet Jean-Luc.

Un immeuble de la reconstruction, simple dans son architecture mais…

Bel immeuble de la Reconstruction au 110 rue du Jard…

Au N° 21 du cours Langlet. Permis de construire délivré le 8 mai 1924 pour le compte d’Henri Camus concernant la construction d’un immeuble à destination d’habitation et de bureaux, situé à l’angle de la rue des Elus et du Grand Cours (appellation provisoire de l’actuel cours Langlet). Destiné à l’origine à recevoir le Comptoir National d’Escompte de Paris. De 1914 à 1918 Reims, ville du front, a été détruite à plus de 80 pour cent. La reconstruction de la ville dans les années 1920 va servir de terrain d’expérimentation. Ce fut l’occasion de moderniser l’urbanisme de la ville. La municipalité avait souhaité que les immeubles situés aux croisement de ce nouvel axe de circulation soient couronnés de dômes. Architecte Louvet Léon. La structure de l’immeuble et de tous les planchers est un ciment armé, les façades étant ravalées en stuc imitation pierre. Couverture avec dôme en ardoises, versant sur cour en zinc. Le rez-de-chaussée, ouvert de hautes baies en plein-cintre, est protégé par un imposant encorbellement soutenu par des atlantes. Si la conception se veut traditionnelle, l’esprit nouveau s’exprime malgré tout avec le pan coupé de l’angle et le rythme des travées. Sur la corniche de grandes urnes ponctuent les travées. Source JLJF
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