Étiquette : Roses


Cet immeuble reste assez traditionnel même si les consoles supportant…

Immeuble qui présente des caractères Art-Déco. Architecte Constant Ouvière. Permis…


Maison au N° 36 Cours Jean-Baptiste Langlet. Plans déposés le 19 avril 1922, permis de construire délivré le 25 avril 1922 pour un immeuble situé anciennement au N° 16 rue du Karrouge. Actuellement Cours Langlet, il a été tracé à l’emplacement de quartiers qui avaient conservé leur tissus urbain de Moyen Âge. Architecte André Ragot 1892-1981. Le permis de construire projette sur rue en brique de Dizy et pierre de taille; seule cette dernière est utilisée. La maison actuelle présente de plus une lucarne pignon surmontant l’oriel qui ne figure pas sur les élévations. Maison de ville dans la tradition rémoise. La façade est animée par un oriel (box-window) surmonté d’une lucarne-fronton triangulaire percée de petites baies géminées en partie supérieure. La sobriété des lignes sans décor, les proportions confèrent à cet immeuble une réelle élégance. Matériaux, pierre de taille, couverture en ardoise, 1 étage carré; étage de comble, toit à longs pans brisés, escalier intérieur. Propriété privée de l’architecte. Source; JLJF.
Immeuble au N° 24 de la rue Thiers construit pour Monsieur Courbet, propriétaire, maître d’ouvrage. Architecte Bisson Georges. La crête qui surmontait le toit du pavillon d’angle visible en 1987 n’existe plus actuellement. Rez-de-chaussée en pierre d’Euville, linteaux en béton armé. Façades sur cour en briques mécaniques. Quatre magasins de commerce étaient prévus au rez-de-chaussée. Immeuble dont les façades sont animées par des oriels sur trois étages terminés par des balcons pergolas en faisceau coiffés de coupoles à pan coupés. Leurs encorbellements au rez-de-chaussée sont sculptés de guirlandes fleuries. L’angle vers la rue Thiers de plan hémisphérique se détache en pavillon et est coiffé d’un dôme ouvert d’une lucarne. La petite porte rue Thiers s’accompagne d’un oeil de boeuf encadré de guirlandes fleuries dont le réseau en fer forgé octogonal ajoute une touche Art Déco à l’instar du décor en spirales des autres ferronneries. Source JLJF

Superbe immeuble du 1 rue Voltaire, à l’angle de la…

Immeuble Chabert, N° 8, place Myron-Timoty-Herrick. Permis de construire délivré le 9 août 1923 au nom de M. Chabert pour un immeuble à destination d’habitation et de commerce situé au N° 12, place du Palais de Justice (ancienne adresse). La ferronnerie occupe un socle en pierre d’Euville et le surplus jusqu’à la sablière est en pierre de Savonnières. Les sculptures au-dessus de la fenêtre du premier étage de la rue des Deux Anges qui se trouvait à l’emplacement d’une partie du cours Langlet actuel (percé dans les années 1920). L’enfant ayant servi de modèle pour les angelots serait André Fanjat, fils de l’architecte.
Un oriel se développe au-dessus sur deux étages, et se termine à l’étage de comble par un balcon sous pergola à balustres en pierre à l’époque de la reconstruction de Reims. Immeuble en pierre de taille, ardoise, 3 étages carrés, étage de comble, toit à longs pans brisés, sculpture, intérieur, ferronnerie, ange. Source; JLJF.
Immeuble d’angle rue Thiers-cours Langlet: Permis de construire délivré le 23 septembre 1924 pour M. Courbet (propriétaire, maître d’ouvrage, immeuble à destination d’habitations et de commerce. La crête qui surmontait initialement le toit du pavillon d’angle (visible encore en 1987) n’existe plus actuellement. La municipalité avait souhaité que les immeubles situés aux croisements de ce nouvel axe soient couronnés de dômes. La rue Thiers avait été percée dans le dernier tiers du 19e siècle pour faire communiquer la place de l’hôtel de ville et la gare nouvellement construite. Architecte de l’immeuble Buisson Georges. Les façades sont animées d’orieils sur trois étages avec des balcons-pergolas à colonnettes en faisceau coiffés de coupoles à pan coupés. L’angle vers la rue Thiers, de plan hémisphérique, se détache en pavillon et est coiffé d’un dôme ouvert d’une lucarne. Balcons de pierre au-devant de trois fenêtres à chacun des trois étages. La porte rue Thiers s’accompagne d’un oeil de boeuf encadré de guirlandes fleuries; dont le réseau en fer forgé octogonal ajoute une touche Art Déco. Source JLJF.
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