Étiquette : Ferronnerie

Deuxième historique: Charles Betsch, négociant, était propriétaire avec sa femme Jeanne Delagrange, de la quincaillerie sise au N° 33, place des Marchés à Reims. « Au petit Saint-Christophe ». Avec les dommages de guerre, ils firent édifier l’immeuble actuel du 13-15, place du Forum sur le terrain N° 33 et sur celui du N° 35, place des Marchés où se tenait auparavant la « Maison Charles Tarpin », fabrication de pains d’épices, biscuits, massepains… Les constructions ayant été détruites par faits de guerre en 1914-1918. Le pignon de l’immeuble s’inscrit dans le courant pittoresque d’inspiration néo-flamande. L’inscription « 1607 Au Petit St Christophe 1925 » aurait pour origine une grosse auberge « Au grand Saint-Christophe », qui se serait située, rue de la Chanvrerie du côté de la rue de l’Arbalète, sur l’ancienne et vaste propriété des de La Salle. Elle tenait son nom d’une chapelle voisine dédiée à Saint-Christophe. Quand l’aubergiste s’installa du côté et en face du Marché au Bled, il lui donna comme nom » Au Petit Saint-Christophe ». Le Marché au Bled était situé à l’ouest de la place, vers la rue de l’Arbalète. En 1791, on voyait une maison dite du « Petit Saint-Christophe ». Occupants du N° 33 de la place des Marchés: De 1846 à 1866, Jean-Louis Rondu, aubergiste, marié à Virginie Sorette de Sacy. En 1872, Jean-Pierre Beaufils, quincaillier, marié à Ventelay, avec Amélie Pinon. De 1876 à 1896, Albert Rocourt, quincaillier, négociant, marié le 7 juin 1877, à Dormans avec Emma Vaillant. A partie de 1901, Charles Betsch, quincaillier, négociant en quincaillerie, marié avec Jeanne Delagrange. Ils deviennent propriétaires de l’immeuble en 1912. Après la morte de Charles Betsch en 1928, Pierre Dumont loua la quincaillerie « Au Petit Saint-Christophe ». En 1979, la quincaillerie devint Bricogem. Source Madame Guérin. Source JLJF.

Jolies petites sculptures de têtes au dessus de la porte…
Mosaïques. La façade principale de cet immeuble est située rue…

Au N° 11 de la rue de Talleyrand, reconstruction d’une maison de ville en pierre et mosaïques. Réalisé par l’architecte Emile Fanjat en 1922, présentant une intéressante frise de mosaïques réalisée par l’architecte Guidici, sous la corniche et les vasques sculptées en tableau des fenêtres du 1er étage.
En 1914 Cercle agricole Lewthaite Robert, 11, rue de Talleyrand. Annuaire des Grands cercles et du Grand Monde. Cercle de l’Union, Jockey-Club.
Robert Lewtwaite, codirecteur aux Vieux-Anglais. Directeur d’usine à Reims. Source JLJF

Au N°3 de la rue du Cadran Saint-Pierre reconstruction d’un immeuble de rapport en pierre. Cet immeuble dû à l’architecte Maurice Brissart fait preuve d’une modernité quelque peu contrôlée; bow-window à pans coupés, dimensions imposante des ouvertures. Date de l’arrêté de permis de construire; 1924. Le pignon d’esprit flamand est orné d’une remarquable corbeille de roses sculptée. Maurice Brissart originaire de Creil (Oise).
En 1848 le 30 mai né Honoré Legaye à Jonval, arrondissement de Vouziers (Ardennes), son père est charpentier. A la Grande Maison du Blanc; Etablissement de confiance. Fondée en 1872 par Honoré Legaye au N° 3, rue du Cadran Saint-Pierre. Mariage le 17 avril d’Honoré-Arthur-Félicien Legaye, 27 ans, né à Jonval, né le 30 mai 1848, marchand de lingerie et médaillé militaire, demeurant à Reims au N° 1, rue du Cadran Saint-Pierre, avec Juliette-Amélie Piot, 26 ans, employé de Commerce, demeurant à Reims, rue Royale N° 8. Témoins Pierre-Nicolas Chappe, 63 ans, banquier, demeurant à Reims, rue d’Anjou N° 8.
En 1877 le 6 mars est comparu Honoré-Arthur-Félicien Legaye, 28 ans, marchand de lingerie, rue du Cadran Saint-Pierre N° 1, il déclare la naissance de Blanche-Gabrielle-Louise, née le 5 mars. Témoins Auguste-Alfred Lederné, 36 ans, négociant, demeurant à Reims, rue des Elus N° 4. En 1896, Legaye fils, 3, rue du Cadran Saint-Pierre.
En 1897 mariage de Georges-Isidor Censier, teinturier, 24 ans, né à Reims le 22 février 1873, demeurant rue de l’Arbalète N° 11, fils de Henri-Philippe Censier, maître teinturier et de Marguerite-Victoire Brodier, d’une part, et de Blanche-Gabrielle-Marie-Louise Legaye, 20 ans, demeurant à Reims rue du Cadran Saint-Pierre N° 3.
1898 Legaye Honoré-Arthur-Félicien, président de la société des médaillés militaires de Reims. Médaille de bronze. 1905 Fernand Censier, teinturier d’étoffes, rue de l’Arbalète, 11, et Marie-Gabrielle Legaye des « Soeurs de Charité », rue du Cadran Saint-Pierre. Il est de nos jours, conseiller général pour le 1er canton. Censier père a son médaillon commémoratif sur sa tombe, au Cimetière du Nord. 1913; A La Grande Maison du Blanc. En revenant par la place des Marchés et la rue de l’Arbalète, nous arrivons à l’entrée de la rue du Cadran Saint-Pierre, devant la Grande Maison du Blanc à Reims. Cette maison fondée en 1872, par Honoré Legaye, offre un grand choix d’Etrennes, utiles, mouchoirs chiffrés et fantaisies, haute nouveauté, etc. On y prépare actuellement la Grande Mise en Vente annuelle de Blanc, avec primes qui commencera le lundi 12 janvier. Que nos ménagères se le disent. Elles trouveront à cette Exposition des articles si remarquables par leurs qualités et la modicité de leurs prix qu’il serait vraiment dommage de manquer cette occasion. Que ceux qui veulent faire des Etrennes utiles à la Grande Maison du Blanc.
1921 Immeuble à vendre: Maison en ruine, sise à Reims, rue de la Clef, 9, Madame Veuve Legaye. Source: JLJF.
1 rue Jean-Jacques Rousseau, à l’angle de la rue de…

Joli décor de céramiques. 254 avenue de Laon. …

C’est, à l’évidence, l’un des plus beaux immeubles de la…

Mosaïques et céramiques sur cette maison du 9 rue de…
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